08/05/2016
Paseo Navajún
Des mois que j'attendais ce moment… Tellement que je n'arrivais pas à dormir la veille… Ce qui explique que quand mes amis descendus de Belgique sont arrivés devant la porte à 7 heures comme convenu, j'étais endormi !
Après le petit-déjeuner et un voyage de dix heures sans histoires
(on dirait que les français commencent à vouloir mieux conduire), c'est la Roja.
Nous approchons...
C'est là !
Casa Don Pedro...
Pedro en personne nous guide jusqu'à notre gîte
Don Pedro nous gâte... J'ai le souvenir ému d'un Trampanillo de quatre ans,
d'une nage de coques aux artichauts, et de côtelettes d'agneau tendres et croustillantes,
venues directement du paradis.
Un peu de tourisme.
Un copain rencontré dans le village, qui s'est pris d'affection pour moi. Là, il prend la pose pour la photo.
Le jour du départ, il a suivi le camion jusqu'au bout du village...
La vue depuis le village.
Pas mal de maisons à vendre. Certaines ont besoin d'un coup de peinture.
Tiens, des touristes...
Après une bonne nuit de sommeil, nous empruntons la piste qui mène à la carrière.
Et dès l'arrivée, on tape...
Les caisses se remplissent.
Les journaliers de Pedro au travail. Un grand savoir-faire, pas de gestes inutiles.
La grotte, où le fils de Pedro nous a permis de pénétrer. Partout, les cubes parfaits brillent...
25/04/2016
LA RETRAITE DE LULU
Lulu en retraite… pour fêter ça, Bernard est monté de son midi, accompagné d'Antoine. François et moi complétions la petite équipe.
Samedi après-midi, grattage à la Croix des Oncins. Deux belles pièces de wulfénites, une pour Bernard, une pour Antoine.
Mais le Haut-Beaujolais, pour des sudistes, c'est un peu le pôle Nord…
Après la traversée du bois dans les nuages, nous rejoignons le gîte.
Temps froid et humide, mais vue superbe !
Tôt le lendemain, Chanrion… bof...
Direction La Nuizière et ses pyros...
La tête de ma pointerolle, après un passage entre les mains d'Antoine !
Un excellent week-end, et de belles trouvailles.
01/04/2016
1, 2, 3
27/03/2016
LE PONT DE CLAIX
Petit tour à la sympathique bourse de José Duarte, toujours aussi conviviale.
Ma modeste table.
De fantastiques marcassites sarthoises
Et un bel échange… 7 kg, environ.
21/03/2016
LES SÉLÉNITES DE BOURGOGNE
En ce premier jour de printemps, une grosse vingtaine de personnes était rassemblée à 9 heures sur le parking de la gare de Tournus, dans la fraîcheur matinale. Après les présentations, les sympathiques accompagnateurs du club GAÏA, groupement minéralogique et paléontologique de Tournus, nous ont briefés sur la journée. Donc, séparation du groupe en deux parties, Un groupe se dirige vers Saint-Gilles, pour taper de la sélénite, dans une ancienne carrière souterraine, dont l’exploitation de gypse s’est arrêtée aux alentours de la deuxième guerre.
L’endroit n’est pas sans rappeler la mine de Mâlains, en plus riche, car sur le site, il peut se trouver des nodules de gypse rouge, de larges plaques de gypse fibreux, et de magnifiques géodes de sélénite. C’est bien sûr vers ces cristaux limpides que nos efforts vont se tourner. Très rapidement, les intervenants se répartissent dans la galerie, fouillant les blocs au sol ou attaquant les parois. Très vite, un concert de massettes harmonieux ! La gangue est raisonnablement dure, mais il convient d’être prudent, car les cristaux, s’ils sont relativement abondants, sont très fragiles.
Chacun ayant trouvé son bonheur, nous quittons la mine vers 14 heures, pour rejoindre le deuxième groupe, qui s’était dispersé dans un petit bois, sur le terril d’une mine de charbon, à la recherche de fossiles de végétaux : fougères, prêles, acacias... ils nous montrent leurs trouvailles, et nous nous installons pour un agréable repas sur l’herbe.
Puis, les fossileux du matin partent vers Saint-Gilles, pour à leur tour taper de la sélénite, tandis que les mineurs prennent le chemin du terril, en quête de fossiles.
Mais la fouille n’empêche pas la conversation, qui roule sur les cailloux, comme il se doit entre gens passionnés. Certains optent même (effets des bons vins du repas ?) pour une méditation fortement teintée de sieste.
Il se trouve un bon nombre de fougères, troncs, graines, etc...
Et en fin d’après-midi, retour vers le Rhône, (l’Isère ou l’Ain pour certains, voire même l’Alsace pour un des participants). Une très bonne sortie de minéralogie comme on les aime. Merci aux accompagnateurs, qui n’ont pas été avares de conseils, d’explications, voire de coups de main ! A refaire !