15/01/2017
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02/01/2017
Pour bien finir l'année...
Pour bien commencer l'année...
12/12/2016
SAINT-GEORGES, LE RETOUR (BIS)
Il faut reconnaître que l’aspect du ciel n’est pas très engageant, au départ de Lyon, ce dimanche... Purée de pois, thermomètre qui hésite entre le -4° et le -5°...
Tout est blanc, autos, arbres, etc... Il me semble même avoir vu quelques passants figés le long des trottoirs, un stalactite leur pendant au nez....
Mais, arrivés sur le site, le brouillard est levé, le ciel bleu...
Nous avons droit à un beau soleil, sur les coups de midi, pour reprendre des forces
dans la quiétude des chênes verts.
27/11/2016
SAINT-FONS 2016
On ne savait pas trop si elle aurait lieu cette année... Ouf ! La salle a ouvert ses portes à 8 heures, comme d'habitude, et avec tous les habitués.
Des têtes connues...
Bon, çà, il en faut aussi...
Les fameuses marcassites de Saint-Denis-d'Orques, qui apparaissent de plus en plus souvent dans les bourses.
Certains ont perdu leur moustache... Mais pas leur bonne humeur !
23/10/2016
LES BARYTES D'AUTOMNE
Pour la deuxième fois cette année, nous sommes accueillis par les sympathiques membres du club GERGAM. Le brouillard est bien présent sur la place de la gare d’Autun, mais nous sommes tous ravis à la perspective d’aller taper du caillou dans cette partie du Morvan si riche par sa minéralogie.
La découverte de présence de baryte dans cette carrière est assez récente, le potentiel important, et l’on peut remercier le GERGAM de mettre ce site à notre disposition pour quelques heures.
Nous levons le camp, direction la mine des Télots proche d’Autun. C’est là, de 1870 à 1957, que des générations de mineurs ont extrait des milliers de tonnes de “schistes bitumineux”, sortes de grosses pierres noires à l’aspect charbonneux. Puisées à 300 mètres sous la terre, chauffées en surface, elles libéraient à haute température de l’huile qui, raffinée selon les usages, donnaient du pétrole, de l’essence ou des graisses mécaniques. Et à la fin du 19e siècle, les actionnaires, “rois du pétrole”, tiraient 30% de bénéfices de cette activité. Comme quoi faire des hydrocarbures avec la roche de schiste n’est pas nouveau. Et surtout pas en Bourgogne ! Sur la photographie, un des deux terrils, hauts de 100 mètres.
